mercredi 28 janvier 2015
jeudi 22 janvier 2015
jeudi 15 janvier 2015
LES DERNIERES ATTAQUES DE BOKO HARAM
Le groupe Boko haram est en train d'intensifié la terreur au Nigeria et dans les Etats limitrophes du Nord-Est du pays. Le chef de l'Etat tchadien a proposé au Cameroun la mise en place d'une force pour stopper l'avancée des hommes de Boko haram.
mardi 13 janvier 2015
jeudi 8 janvier 2015
CONFERENCE SUR LES NOUVEAUX CHIENS DE GARDE
Cette conférence a montré que des paramètres divers et multiformes ont la capacité de remettre en cause le soit disant indépendance des journalistes. Il s’agit notamment de leur cadre professionnel et de leur proximité avec l’élite dirigeante.
Les journalistes comme tout salarié travaillent dans des
structures publiques ou privées et donc dirigées par des chefs. Les
propriétaires ou dirigeants des organes de presse ne sont pas toujours des
professionnels de l’information voire des journalistes. Il peut s’agir de
multinationales aux activités très diverses. En est-il ainsi de la tentative
d’acquisition d’ABC en 1965-1967 par International Telephone et Telegraph.
L’échec de cette tentative s’explique par le tollé général devant le danger de
voir l’une des plus grandes chaînes de télévision passer sous la coupe d’une
multinationale largement implantée à l’étranger. On craignait qu’ITT « ne
compromette l’indépendance de l’information donnée par ABC-News sur les
événements politiques des pays où la compagnie avait des intérêts ». De
même, la chaîne publique WNET a perdu le soutien financier du pétrolier Gulf +
Western en 1985 pour avoir montré le documentaire « Hungry for Profit (les
rapaces) » qui critiquait les agissements de certaines multinationales
dans le tiers-monde.
Par ailleurs, certains supérieurs hiérarchiques des
journalistes peuvent remettre en cause les principes d’indépendance et
d’objectivité dans le traitement de l’information. Ainsi ils procèdent à des toilettages
des articles, des reportages,… avant leur publication.
samedi 3 janvier 2015
UN PUTSCH AVORTE EN GAMBIE
La tentative de putsch, de mardi dernier, dirigée par l’ex-capitaine de l’armée, Lamine Sanneh n’a pas abouti. En l’absence du président Yaya Jammeh, les mutins qui ont attaqué le palais présidentiel sont repoussés par les forces qui gardaient les lieux. Certains d’entre eux ont perdu la vie notamment le chef du cerveau présumé.
De retour à Banjul, le président gambien a prononcé une
déclaration après avoir défilé dans les rues de la capitale avec une escorte
renforcée. Pour rappel, l’homme fort de Banjul était au moment des faits en
voyage privé à Dubaï et a fait une escale à N’Diamena lors de son retour. Dans
son allocution il a brandi des menaces contre toute personne qui tenterait de
renverser son régime. Il a aussi accusé des puissances étrangères qui seraient
derrière ce coup d’Etat manqué. En effet, lors de son allocution télévisée Yaya
Jammeh a montré une arme utilisée par les assaillants qui selon lui est de
fabrication américaine. « Ceux qui prônent et parrainent un changement de
régime par la violence doivent savoir qu’ils n’agissent pas seulement en
violation des droits de l’homme et des intérêts légitimes des victimes, mais
aussi contre la volonté de Dieu-Tout Puissant. C’est pourquoi ils ne réussiront
jamais » a-t-il affirmé mercredi soir. Le bilan du coup d’Etat raté a fait
trois morts.
Les contrôles au niveau des entrées de la capitale sont
renforcés. Suite à cette attaque, les risques de répression sont très grands
dans l’armée mais aussi au sein de la population civile. Le régime actuel est
fréquemment accusé de restriction des libertés par les défenseurs des droits de
l’homme.
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